Parle du gamer en toi et gagne un IG Mag #11 !
|Demain sort le nouveau IG Mag, 11ème du nom. Un de ces rares magazines disponibles en kiosque où on trouve encore quelque chose à lire, où on parle vraiment de jeux vidéo et où on n’est pas noyé par des photos de babes.
Au programme de ce nouveau numéro, les premières critiques sur le terrifiant Dead Space 2, un petit retour sur le monde de Fable 3 ainsi qu’une revue sur la dernière extension de World of Warcraft intitulé Cataclysm. On n’oublie pas les dossiers consacrés aux nouvelles façons de jouer en mouvements qui fait fureur en cette période de Noël. Et puis on tapera la causette avec ce bon vieux Eric Chahi et son parcours, qui doit être bien loin de celui de la gameuse vue dans la rubrique Culture du magazine. Enfin, IG Mag nous replongera dans le passé et nous reparlera de Oddworld et surtout du fascinant Deus EX. Ca tombe bien : le deuxième volet est attendu lui pour l’année prochaine !
IG Mag #11, c’est dès demain mardi 23 novembre dans tous les kiosques à journaux au prix de 8,50 €.
Et en cette période festive, Try’N Play et Ankama Presse ont décidé de te gâter et te propose de remporter un IG Mag #11 ! Pour participer, rien de plus simple : raconte-nous ton expérience de gamer, ton parcours ou bien dis nous en quelques mots ce qui fait de toi un gamer.
Les 3 commentaires les plus drôles, insolites ou originaux remporteront un des trois IG Mag #11 mis en jeu. Fin du concours ce vendredi 26 novembre à midi ! Bonne chance à tous !
Aaaah, je me souviens encore d’un jeu qui m’a marqué à vie, et qui est Super Mario Bros.
Que de symboles épars peuplent ce jeu. Après tout, n’est-ce pas notre but à tous, dans la vie, de courir après sa princesse, l’amour inconditionnel ?
Nous nous démenons à travers tous ces niveaux qui sont autant de périodes de notre vie, le monde adulte étant bien entendu assimilé au dernier monde, où tout n’est que feu et souffrance.
Notre but dans le jeu de la vie est bien le même, ramasser autant de pièces que possible, sans lesquels cet univers perdrait de sa saveur, sans lequel nous ne sommes rien.
Les ennemis sont autant de terroristes/Bob-Omb, de banquiers/Gomba, de conseiller ANPE/Koopa (leurs vitesses d’action étant relativement proche) qui se mettent sur notre route.
Parfois la vie est dure, on tombe sur un gros bloc, que l’on doit casser avec ses petits poings. Mais c’est dans ces épreuves que l’on peut parfois progresser, évoluer, à travers la symbolique du champignon qui nous fait grandir !
Peut-on enfin conclure sur l’image de Bowser, qui n’est autre que notre propre personnalité, notre démon caché. Mario nous met face à nos peurs, nos cauchemars, et nous encourage à les vaincre !
Quelle merveille vidéo ludique, une vraie mélodie du bonheur, transcendant et paraphrasant les plus grands philosophes à travers un plombier moustachu digne d’un Dorcel.
Demain, je vous expliquerais la ménopause avec Sonic.
Je me souviens de mon cadeau reçu pour la Saint-Nicolas par mes parents. C’était en 1987, j’avais 12 ans et je recevais la Sega Master System avec deux jeux. Alex Kid et un jeu………………NES dont je ne me rappelle plus du titre. 🙂 Mes parents n’y connaissant rien en jeux vidéo s’étaient trompé. Heureusement le lendemain ils ont pu changer de jeu et se sont ramené avec un titre horrible, Ghost House, dont le but était de tuer des chauves souris. Une vraie daube 😀 Je leur ai pardonné depuis, rassurez-vous 😉
Passé par l’Amstrad CPC6128+, la GameBoy, la Megadrive, la Lynx, la PS1, la PS2, la Xbox, la Xbox360, la PSP et la DS, je joue presque exclusivement sur PC maintenant. Je suis un fan de FPS multijoueurs et pour moi ca ne peux se jouer que sur un ordinateur.
Première grosse claque vidéo-ludique : Sonic et la vitesse hallucinante du jeu. Ça devait être en 1991. On avait jamais vu ca à l’époque!
La grosse révolution fut forcement la PS1 avec son catalogue gigantesque. C’est incroyable le nombre d’heure passé devant cette console à affronter mes frangins sur Street Figther ou à faire des tours de piste sur Gran Tourismo!!!
Aujourd’hui, le summum du plaisir c’est la petite LAN entre amis. On commande des pizzas et on fragge toute la nuit. 🙂
Alors moi mon premier souvenir de gamer j’étais tout petit, j’avais 5 ans et je jouais sur Super Nintendo à Mortal Kombat. A mon anniversaire j’avais invité 3 copains pour jouer à ce jeu avec moi et finalement quand j’ai perdu mon dernier combat je me suis mis à pleurer devant mes potes… Finalement je leur ai passé ma manette et ont continué à jouer sans moi.
Ca c’est mon premier souvenir, ridicule mais drôle. Ensuite je suis passé à la Nintendo 64 avec les Zelda, à la Game Boy avec le premier Pokemon, au Gamecube etc…
‘Fin wala =)
Moi aussi mon souvenir est sur PS1, et également sur ISS Pro evolution, mais également sur Crash Team Racing (tjs PS1) il y a plus de 10 ans.
Je passais beaucoup de temps sur ces 2 jeux avec mes meilleurs potes (uniquement le week-end, car la semaine je n’était pas à la maison, je travaillais en déplacement).
On se faisait des tournois à n’en plus finir,et même si je perdais très souvent (il faut bien que quelqu’un soit le plus mauvais), ces souvenirs sont très fort.
Quelque potes, un JV, et on ne voyait pas le temps passé, que demander de plus…
Pour ma part le souvenirs le plus gravé dans ma mémoire est sans aucun doute le passage de la première playstation, à l’époque (huhu sa me rajeunis pas) la console était chez ma mère et je n’y allais que le week-en. Comme jeu on joué principalement au premier ISS (lancêtre de PES pour les plus jeune), et avant chaque week end avec mon frère et ma soeur on préparé les matchs, on préparé des tournois à l’avance avec des équipes qu’on avaient tiré au sort dans une casquette avec des petits bout de papiers.
Sinon gros souvenirs aussi avec la nintendo, je me rappel surtout d’un truc, j’avais le droit d’y jouer une heure par jour, pas plus car « la console ça abime la télé » halala cette expression qu’est-ce que je l’ai entendu, aussi ce que j’ai entendu c’est : « il fait dehors, va donc profiter du soleil », mais je voulais pas aller dehors moi, je voulais juste finir Mario, mais en une heure par jour ce n’était pas facile.
J’ai encore pleins de souvenirs mais ça serait trop long à tout raconter, en tous cas je finirais avec ces quelques mots : « je suis bien content d’être tombé dans la marmite des jeux vidéos quand j’était petit »